Emmanuel Cattier

A la croisée des chemins...

67StrasbourgAlsace - France

Bonjour,

Intervenant informatique depuis plus de 20 ans, j'ai eu précédemment une expérience de comptable d'entreprise après avoir été pendant 7 ans photographe professionnel.

J'ai aussi d'autres expériences approfondies dans des domaines très variés.

Le profil que je présente ci-dessous est volontairement hors des normes en matière de CV. Si vous avez besoin d'un CV classique cliquez ici : http://emmanuel.cattier.free.fr/cv/cv-cattier.pdf

Mon site professionnel :
www.manusoft-fr.com

P.S.

1-Si vous souhaitez me contacter, utilisez uniquement l'adresse mail suivante ec.news(at)free.fr ... je n'utilise pas les messageries des réseaux sociaux qui rendent irrationnelle la gestion de la multiplicité des messageries et font perdre beaucoup de temps.

2-Ma photo, prise par un collègue de formation en anglais, date de fin 2007. Je suis né en 1950, mon dernier gamin est né en 2003 et je travaillerai jusqu'à 75 ans, voire plus si c'est possible...

Emmanuel Cattier
10 contacts
Expérience professionnelle
1998 - 2012

Comité vérité sur le Rwanda à Strasbourg (1998)
Commissaire, rapporteur sur l’opération Turquoise, rédacteur de ce chapitre dans le rapport de la CEC (L'horreur qui nous prend au visage, Karthala, 2005, 586 p)
Webmaster et rédacteur depuis 2003 jusqu'à ce jour du site de la commission :
http://cec.rwanda.free.fr
Conférences
Conseil à l'élaboration de plusieurs livres
Auteur de l'étude sur le premier accord d'Arusha (2008) :
http://cec.rwanda.free.fr/documents/Arusha-1v5....
et de nombreux autres textes sur la question.

Associations, ONG
Depuis 1988

Intervenant informatique depuis plus de 20 ans, en entreprises, établissements d'enseignement, associations et chez des particuliers, comme chef de projet, consultant, formateur.

Je réalise des applications VBA compètes sur mesure, s'appuyant sur Access et/ou Excel et/ou Word. Certaines de mes applications sont utilisées depuis plus de dix ans. Beaucoup sont utilisées depuis plus de cinq ans.

Initialement comptable d'entreprise, j'ai conçu et développé plusieurs applications de gestion (comptabilités, gestions commerciales, gestions d'adhérents, d'études de laboratoire (Johnson Control), échanges de jeunes au niveau européen, gestion des emplois jeunes pour plusieurs régions (DRTEFP), cahier des charges (étude de l'existant) du services des ressources humaines d'Electricité de Strasbourg (EDF), etc.) et de "reporting" (collecte et contrôle, puis organisation des données à prendre en compte au niveau mondial pour le directeur environnemental de Nestlé Waters).

Je suis formateur sur MSOffice (Access, Excel, Word, PowerPoint). J'anime également des formations sur Visual Basic. J'ai formé entre autre des salariés d'EDF, de France télécom, de Messier services (safran), Elis, et d'administrations et de PME diverses, soit en direct, soit en sous-traitance.

J'ai formé pendant plusieurs années des utilisateurs des logiciels Winner Compta et Master paye de Ccmx, dans leurs locaux ou chez les clients, dans des entreprises et dans des cabinets d'experts-comptables.

J'ai également assisté des utilisateurs sur de nombreux logiciels que je ne connaissais pas particulièrement, mais auxquels je m'adapte rapidement, car leurs structures sont souvent semblables.

Parmi les interventions un peu hors de l'habituel que j'ai faites en bureautique, j'ai réalisé entièrement avec Word le "prêt à clicher" du livre d'un ami édité chez l'Harmattan en partant de son fichier Word et en le restructurant au plan informatique(prise en compte des contraintes techniques de l'éditeur, format, couverture, styles, table des matières, notes, pagination, etc). J'assurais directement le dialogue avec les services techniques de l'éditeur. Je peux aussi créer un PDF à partir de documents de formats divers.

Webmestre de plusieurs sites internet HTML/CSS/javascript, que j'ai entièrement conçus (structure, graphismes, photos et textes quand le client ne propose pas ses propres documents). J'ai par exemple mis en ligne sous forme de fichiers html un rapport de 600 pages, initialement sous Word, avec des facilités de navigation interne.

En photographie, ayant eu une pratique de la photographie professionnelle argentique, j'ai abordé naturellement la technique numérique, qui repose d'abord et aussi sur l'analyse de l'image et de ses caractéristiques (Composition, balance des couleurs, gamma, contraste, etc). J'utilise les logiciels de Canon pour mes fichiers "raw" (.CR2) et The Gimp pour travailler les photos.

Services informatiques
1968 - 2012

Fondateur d'un club photo au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine (1967-1968).

Depuis 1966 interrogations suggérées par le monde, les souffrances, la "non-violence", les participations à la gestion, la connaissance de soi, l'éducation, la citoyenneté, la foi. Nombreuses participations à des petits groupes de réflexion.

Élu en juin 1968 délégué de ma classe au conseil de classe.

1972-1978 Courant "Non-violent". Campagne contre les essais nucléaires à Nancy (1973), campagne pour le Sahel à Rennes, paysans du Larzac (1974), porte-parole du comité contre la marée noire de Shell auprès du Conseil municipal de Rennes (1978)

Service civil (objecteur de conscience) dans un bureau d'aide sociale (59-Marcq-en-Barœul 1976), secteur des personnes âgées, distribution de repas à domicile, bureaucraties diverses, peinture du logement d'un pensionnaire et création administrative de l'activité de gymnastique du troisième âge dans les foyers de la commune.

Activité jeu d'échec, animateur de l'activité club photo, élu administrateur et trésorier-adjoint de la MJC de Châtillon-sur-seine au moment du conflit avec la Mairie qui voulait supprimer le poste de directeur, parrainage avec le village de Blagesti en Roumanie (membre de l'équipe partie en voiture à Blagesti en janvier 1990 avec le Maire de Châtillon sur Seine, précédant le camion de 38 tonnes organisé par la MJC).(1979-1992)
Conseiller municipal de Montliot et Courcelles, commune rurale de 200 habitants près de Châtillon, président fondateur du Comité des fêtes de la commune (notamment réintroduction de la fête du 14 juillet disparue depuis plusieurs années), animateur de ciné-club en relation avec l'association du village voisin de Massingy et délégué communal au SIVOM du canton, membre de la commission des finances et de la commission assainissement (création du réseau d’égouts de la commune). J'ai démissionné au bout de trois ans, car le Conseil refusait de régler sérieusement le problème des bâtiments en ruines du village. (J'ai été traité de dictateur à cette occasion).(1983-1985) A ce moment précis la "marche des maires" de Survie passa dans mon village...

Membre de l'association Survie(1985-2010), secrétaire, puis président, puis trésorier de l'association Survie Bas-Rhin (2001-2010).
En 1995, arrivant en Alsace, je devins membre de Missions Cadres en Entreprise. Cette association aidait les cadres au chômage à construire une vie sociale et par le fonctionnement administratif de ses missions en entreprises fut un des précurseurs du portage salarial. Autogérée par ses membres, je fus élu trésorier lorsque une AG extraordinaire découvrit de graves dysfonctionnements dans la gestion de l'association et les conséquences de l'absence de trésorier depuis plusieurs mois. Formant un excellent binôme avec mon collègue trésorier-adjoint, nos investigations entrainèrent la démission du Président qui s'accrochait à son poste malgré l'AG. Étant ensuite parti en formation, j'ai appris que le bureau avait poursuivi cet ancien président en justice et obtenu sa condamnation sur la base de nos travaux.
Conseiller presbytéral (Saint-Matthieu Strasbourg, 2005-2008).

Actuellement :

Je suis cofondateur et webmaster de la commission d'enquête citoyenne sur l'implication de la France dans le génocide des Tutsi depuis 2003.
Je suis également trésorier de l'association de ma paroisse, qui gère les bâtiments de l’église et un salarié, depuis 2008.

Au cours de ces expériences, j'ai appris à organiser et animer des évènements, des activités et des réunions, à écouter les points de vue et à affirmer les miens, à travailler avec plusieurs associations, à tenir des comptes et en rendre compte, à prendre des décisions collégiales, à prendre la parole en publique (présentations, conférences, animations de débats, etc.), à faire des études historiques approfondies, à les rédiger (exemple: http://cec.rwanda.free.fr/documents/Arusha-1v5.... ), à écrire des éditoriau

Associations, ONG
1986 - 1987

Comptable de cette coopérative du bâtiment structurée en deux sociétés, cette expérience m'a permis de compléter utilement et difficilement sur le terrain, ma formation FPA de comptable.

La coopérative PSB, Prestation Services en Bâtiments, fut crée sur les ruines d'une entreprise "classique" du bâtiment. Les "Compagnons réunis", créée ensuite par PSB pour répondre aux exigences des marchés des monuments historiques, faisaient les études et la conduite des travaux et PSB fournissait la main d’œuvre.

Unique comptable de cette double structure de cinquante personnes, sans aucun assistant, je devais faire les écritures comptables, les payes et déclarations sociales, les déclarations fiscales, les déclarations spécifiques au bâtiment et celles relatives aux coopératives, les règlements aux fournisseurs et suivre ceux des clients (dont les "lois Dailly" que la banque suivait mal), suivre les trésoreries et les relations avec trois banques, assurer mensuellement le contrôle de la cohérence des comptes, préparer tous les six mois une situation et en fin d'année le bilan contrôlé in fine par un expert comptable.

L'entreprise n'étant pas informatisée, et ne voulant pas en entendre parler, je m'étais équipé personnellement d'un PC et je faisais chez moi les payes sur le premier tableur de Microsoft (Multiplan) que je recopiais au bureau sur les bulletins de paye !

Quand je suis entré dans cette entreprise, elle traversait une grave crise interne, conséquence d'un impayé sur un chantier qui correspondait à 30 % de son chiffre d'Affaire annuel, et à un conflit avec mon prédécesseur, justifié de la part de l'entreprise, que j'ai d'ailleurs aggravé par mes recherches de cohérence dans les comptes. J'ai du lutter farouchement dans les assemblées des coopérateurs qui, face à ces difficultés, suivaient la personnalité dominante de l'entreprise. On me suggérait des solutions de facilité illégales, engageant le comptable sur une pente inacceptable. On me reprocha en retour de mettre l'entreprise en péril et on m'affirma que, selon l'expert comptable, j'avais tout juste les compétences de base minimum pour occuper ce poste. J'ai du partir au bout d'un an.

Construction immobilière
1979 - 1986

Photographe, prise de vue et laboratoire.

Reportage et laboratoire argentique de photographie et construction de laboratoire après avoir assuré moi-même la construction complète de mon laboratoire : maçonnerie d'une pièce dans une grange (murs, sols et plafonds), plomberie thermostatée et filtrée, électricité en milieu humide, mobilier, systèmes de développement N&B et couleur (négatif C41, papier et diapositive E6).

Pour la construction de mes systèmes de développement, je me suis plongé dans les exigences physiques et chimiques des chaines de développement et dans la chaudronnerie du PVC : mise en forme des plaques de PVC(pliage, emboutissage avec des moules en bois) et soudure à l'air chaud avec des baguettes de soudures de PVC. Mon compresseur d'air était un accessoire de perceuse Peugeot et j'avais fait commander par la quincaillerie du coin un chalumeau à air chaud. J'ai aussi assemblé des pièces détachées d’électroménager et de petite mécanique pour faire tourner des éléments à faible vitesse et brasser des bain-marie contrôlés au dixième de degré près par des thermomètres à relais. Certains éléments auraient peut-être pu donner lieu à un dépôt de brevet, mais cela aurait été inutile car si mon système répondait à ma problématique et à ma maîtrise technologique artisanale, il n'était pas du tout dans l'air du temps très industrialisée, car il exigeait quand même une surveillance constante. Il aurait par contre pu être très utile dans le tiers-monde... mais j'avais conscience qu'il avait d'autres urgences.

Vers 1986 j'ai perçu dans la photographie numérique une menace pour l'avenir de la photo argentique et j'ai laissé tomber ... nettement trop tôt ! Le virus de l'informatique m'avait aussi gagné... et j'avais besoin de sortir de mon enfermement solitaire de laborantin... et ce n'était pas rentable à cause de mon manque de sens de la prospection commerciale, ce qui ne signifie pas que je n'ai pas de sens commercial.

Photographe
1978 - 1995

Le premier "ordinateur" que j'ai vu est une boite métallique d'environ deux mètres de haut et 60 cm de côté... sur un stand du palais de la découverte à Paris. Dans ma mémoire, il fallait changer de grille pour passer des additions aux multiplications... J'étais fasciné par la rapidité de calcul de cet engin... j'avais une douzaine d'années. Ensuite dans les années 70-73, j'étais à Nancy et j'entendis les plaidoyers de JJSS sur l'informatisation des entreprises. Je me suis acheté des bouquins sur le sujet.

Je suis venu à l'informatique à travers une initiation dans le cadre de ma formation FPA de comptable d'entreprise en 1978. Nous utilisions des "ordinateurs" sans écran, programmés par une codification en base 8, ayant une bande perforée comme mémoire de masse et une imprimante comme périphérique de dialogue homme-machine. J'ai eu l'impression lors du premier cours que j'étais le seul à ne rien comprendre.... mais j'ai eu la meilleure note à l'épreuve finale.

Ensuite mon père m'a offert une calculatrice programmable Texas instrument TI58C avec laquelle j'ai pu programmer une balance carrée pour contrôler mes comptes de photographe.

En 1982, j'ai acheté un Sharp PC1500, avec 11,5 Ko de mémoire... il fallait rivaliser d'astuces pour économiser de la mémoire ! J'ai fait des programmes en basic, notamment une comptabilité pour mon activité de photographe. Chaque module était enregistré sur une K7... il fallait 10 minutes pour charger un module. Je saisissais chaque écriture et les imprimais avec une petite table traçante sur une bande de papier de 5-6 cm de large dans le sens de la longueur, réparties dans les comptes. Je conservais en mémoire sur K7 les soldes des comptes et pouvais sortir une balance pour préparer mon bilan. L'inspecteur des impôts, très amusé par mon système, était d'accord à condition d'avoir une loupe pour lire les bandes imprimées !

En 1986, j'ai acheté un Amstrad PC 1512 avec un lecteur de disquettes. Plusieurs amis on fait de même et nous avons créé une association, l'API, association pour la promotion de l'informatique. Nous faisions des initiations à l'informatique dans les villages. Je me suis mis au tableur Multiplan.

En 1987-88, j'ai acheté le logiciel Framework. Avec son langage FRED j'ai programmé une comptabilité pour un ami éleveur et pour une MJC. Avec mes amis de l'API nous avons organisé une journée de la micro-informatique à Châtillon-sur-seine, avec la participation de fournisseurs de Troyes et de Dijon, et au cours de laquelle j'ai rencontré le directeur de Pakers Mussy qui recherchait un formateur sur Framework. Ce fut mon départ professionnel dans l'informatique.

Fin 1991, ce directeur m'appela : il ne trouvait personne pour s'occuper d'un investissement informatique en race campagne, un ordinateur HP-UX, une douzaine de postes sur trois sites, et un progiciel Prodstar à paramétrer (comptabilité, gestion commercial Comfac et base articles dans la gestion de production). J'ai plongé, pour une entreprise comme je l'avais fait pour moi-même, dans les arcanes d'un système, dont j'ignorais absolument tout, autrement plus complexe et lourd. J'ai aussi interfacé les données de Prodstar avec le SGBDR Paradox, sous MSDOS puis sous Windows, pour faire les tableaux de bords commerciaux de l'entreprise.

Parallèlement, j'ai initié à la micro-informatique des jeunes des lycées agricoles de Châtillon-sur-Seine et Semur-en-Auxois, avec un statut de vacataire, payé au mieux avec 6 mois de retard quand on prenait la peine d'écrire pas mal de lettres au directeur régional de la très efficace administration de tutelle ...

Ensuite, vers 1995 en Alsace, j'ai acheté ma première version de Microsoft Office... et par un collègue d'une association de cadre au chômage, j'ai découvert une formation FPA d'élargissement de compétences en informatique dont les méthodes pédagogiques m'ont permis de rejoindre un groupe dont chacun conduisait son auto-formation selon son rythme, mais guidé par deux ingénieurs en informatique, sur "Visual Basic 3" puis sur "Access 2" et "Access basic", anc

Recherche et développement
1978 - 1979

CDD de trois mois, remplacement du titulaire du poste pendant sa formation informatique sur le futur IBM de l'entreprise.

J'étais entré chez ce fabriquant de parquets, grâce à un expert-comptable, directeur de la Fiduciaire de France à Rennes, rencontré au cours d'un stage pendant ma formation FPA.

Je devais faire manuellement les 400 payes de l'entreprise chaque mois, sauf celles du PDG, de sa famille, du directeur commercial et du Chef comptable.

Je devais aussi suivre l'actualité des lois sociales dans une entreprise où le chef d'entreprise, maire UDR du village, avait une dizaine de procès en cours sur ces questions, contre des syndicalistes, puis des magistrats invectivés au cours des audiences. Je trouvais des notes sociales barrées rageusement par des formules telles que : "J'ai téléphoné à l'inspecteur et je lui ai dit que c'était un con".

Le collègue qui partageait le même bureau et faisait la comptabilité analytique me raconta qu'il sortait de dépression car on l'obligeait à tenir deux comptabilités parallèles : la vraie et la présentable.

J'ai appris à faire des payes et j'ai découvert des non respects des conventions collectives : toutes les femmes du service administratif étaient payées en dessous du minimum conventionnel. J'en ai parlé aux concernées qui semblaient indifférentes. Je m'en suis émus auprès du chef comptable qui m'avait embauché contre l'avis de son patron. Dans la foulée il m'a demandé de procéder au licenciement d'un salarié, sans préavis après la période d'essai. J'ai refusé. J'ai été viré quinze jours avant la fin de mon contrat... Avec une menace physique du chef comptable qui me dominait de deux têtes : "Si je te retrouve sur le trottoirs en faisant la queue à l'ANPE je te casserai la gueule". Aux prud'homme je n'ai rien pu faire car j'avais été payé régulièrement jusqu'à la fin du CDD convenu.

Cette expérience m'a profondément choqué. L'expert-comptable qui m'avait fait entrer me proposa un autre poste. Mais j'étais dans une telle révolte que je l'ai envoyé promener, très injustement malgré sa bonne volonté, et que j'ai décidé de réaliser un projet que je mijotais : me mettre à mon compte comme photographe.

Production matériaux construction
1977 - 1977

Poste mal prévu pour organiser un événement sur la Bretagne trop lointain pour qu'il soit vraiment dans sa phase préparatoire. Je me suis rabattu de temps en temps sur des animations de clubs photos dans des établissements scolaires ... comme unique activité réelle.

Enseignement - Animation - Recherche
1976 - 1976

Livraison de repas à domicile
Administration des cartes de transport
Création d'activités sportives
Réfection de logement

Administration | Collectivité locale
1970 - 1978

Manœuvre en usine, vendeur au porte à porte (nul!), en magasin et en grande surface, monteur de pneus dans une station service de pneumatiques (tous véhicules de la moto aux gros engins de travaux publics - le patron, âgé, fut très déçu que je quitte son entreprise), employé au contrôle des listing à l'ASSEDIC de Bretagne, moniteur de colonies de vacances...

1959 - 1978

J'ai commencé à prendre des photographies à l'âge de 9 ans, avec un "Scoutbox" qui avait appartenu à mon père : une boite noire (!) avec une lentille à deux ou trois diaphragmes et un film 6x9. Ensuite vers 12 ans j'ai reçu un Weberfex 24x36. Je prenais des photos de paysages et des portraits. On aimait mes photos prises sur le vif.

Vers l'âge de 16 ans, mon père m'a appris à développer des films. Très impatient, j'ai mijoté et réussi ensuite à tirer une première photo avec un projecteur de diapositives et une cuve et des produits de développement pour film. Y'avait une image !!! Etonné, mon père m'acheta alors un agrandisseur. Ensuite j'ai économisé et acheté un autre 24x36 Voigtländer. Vers 18 ans j'ai acheté mon premier reflex, un Exa 500, dans la seule FNAC qui existait à l'époque.

En 1967 la bibliothécaire de mon lycée organisa un concours de photographies. J'obtins le premier prix avec une photo du bord de Loire. Elle me proposa de créer un club photo. J'acceptais et obtins du proviseur, Monsieur Croquelois, une subvention pour acheter le matériel, l'installer dans le sous-sol du Lycée et initier mes camarades au développement et tirage de photos.

Après 1968 j'ai abandonné la photo. Je l'ai reprise en 1976 après m'être équipé d'un Nikon et de trois objectifs avec mes salaires d'employé à l'Assedic de Bretagne.

En 1977 je me suis fabriqué des cuves en contreplaqué. Je les avais assemblées avec suffisamment de soin pour qu'elles soient étanches au moyen d'un système de rainurage que j'avais réalisé avec mes outils électriques. Elles étaient recouvertes d'un vernis costaud.... pour développer une trentaine de photos 9x12 à la fois dans un panier en fil de fer recouvert de plastique ... et pas mal d'élastiques. J'ai développé entre autres des photos de reportage pour un événement, demandées par une bonne centaine de participants, et les photos de mon faire-part de mariage. Dans la foulée je me suis mis au développement de la photo papier couleur toujours avec du matériel que je me suis fabriqué pour maintenir la température d'un tambour de développement papier.

Recherche et développement
Ancien élève de
Hobbies
Chrétien , méditation sur le sens des évènements , ma famille , citoyenneté , les réalités du monde , les injustices , écriture , photographie , comprendre au-delà de ses limites... désolé d'être mal à l'aise en langues étrangères